Tous les habitants courvillois connaissent bien le nom de PANNARD, par le nom de la salle des fêtes et de la rue qui porte son nom, mais beaucoup ignorent la vie et l' oeuvre de cet homme .Il naquit a courville le 2 novembre de l 'an 1689 .Des biographes affirmaient que sa ville de naissance se trouvait à quelques km de Courville, à Nogent le roi. Ses parents en sont partis après, probablement vers cette cité ,mais courville fût bien le berceau de la famille PANNARD. Vieux nom de famille de Courville ,car ces ancêtres ont habités et étaient natif de notre bourgade. Toute sa famille faisait partie des gens bourgeois, dû aux métiers de commerçants qu'ils exerçaient . Notre poète fût même qualifié du titre "de la fontaine du vaudeville "part Marmontel .il ressembla beaucoup à la fontaine par son caractère et ses moeurs .c'était la mène simplicité et la mène imprévoyance. Ses oeuvres comprennent, une comédie intitulée ,les acteurs déplacés , cinq pièces jouées , treize opéras comiques puis des divertissements avec des chansons .Citons par exemple des vers que ce poète courvillois écrivit en forme de bouteille et de verre . François PANNARD n' avait fait aucune étude et il vivait ,ignoré dans un petit bureau. L' abbé Pichenot parlait de lui ,<> et plus il s'attachait a lui . j' allais lui rendre visite rue du hasard chez le receveur des finances qui le logeait, sous le toit de sa maison .Une chambre sans cheminée , une cuisine ou il se rendait pour se réchauffer et discuter avec les domestiques .Il disposait d 'un lit ,deux chaises et un espèce de coffre ou il rangeait le peu d'affaires qu'il possédait. Pour cet homme qui n' avait point de livres , son génie et sa mémoire suffisaient pour écrire ces différents ouvrages. Il avait de bons amis qui lui donnait des habits et du linge . C 'était un véritable enfant ,et un second <> . POÈME LE VERRE Nous ne pouvons rien trouver sur la terre Qui soit si bon,ni si beau que le verre Du tendre amour, berceau charmant C'est toi, champêtre fougère C 'est toi qui sers a faire, L' heureux instrument ou souvent pétille Mousse et brille Le jus qui rend, Gai content. Quelle douceur! Il porte au Tôt Tôt Tôt Qu'on m'en donne Qu'on m'en donne Tôt Tôt Tôt Qu'on m' en donne Vite et comme il faut l'on y voit sur ses flots chéris Nager l'allégresse et les ris.
LE POETE François PANNARD
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1689.1765
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